De la même librairie Arts et Autographes, ces deux lettres de Drumont à Mercier :
— 1er décembre 1900 ; 1 page 1/2 in-12. Drumont est surpris et peiné que le général n’ait pas communiqué à La Libre Parole la lettre donnée à L’Écho de Paris et au Petit Journal [qui soutenait la candidature de son ami le général de Saint-Germain aux sénatoriales d’Ille-et-Vilaine]. « Il nous a semblé que, dans la mesure de nos forces, nous vous avions assez défendu, quand la meute dreyfusarde était sur vous pour que vous pensiez à nous en même temps qu’à nos confrères. »
— 1er décembre 1900 ; 1 page in-12. Sa santé l’empêche d’accepter son invitation pour demain, « quant à notre ami le commandant Biot il sera retenu au journal par le sentiment de devoir […] Croyez bien, mon cher général, qu’il ne nous reste aucun souvenir de cet incident qui n’était qu’un malentendu et ne voyez dans ma lettre que notre désir de n’être jamais dans les derniers quand il s’agit de servir la cause de l’armée. »