Sur le site de la librairie Autographes des siècles, deux lettres de 1899 et une de la même époque d’Alexandrine Zola.
Un mot à un correspondant anonyme, d’Angleterre :
Que vient compléter la lettre d’Alexandrine :
Deux pages in-16°, du 19 mars 1899. « Monsieur, lorsque votre lettre est arrivée, j’étais sur le point de rentrer à Paris, et j’avais donné l’ordre que l’on ne m’envoya plus la correspondance. Et comme je suis revenue très souffrante, je n’ai pu ouvrir les lettres qui m’attendaient. Je ne regrette que le retard que j’ai mis à vous répondre, car pour votre demande, mon mari ne vous aurait pas satisfait ; se considérant depuis son exil comme un homme qui n’est plus au nombre des vivants, il refuse toute proposition … »