En passant, ce petit article qui nous avait échappé et qui voit rééditer – voire aggraver – les âneries déjà signalées (voir ici) :
On le lira intégralement ici. Nous isolerons toutefois ce passage que nous nous abstiendrons de commenter : « Le librettiste Didier van Cauwelaert n’a pas choisi comme personnage principal le tragique capitaine Dreyfus, “patriote et militariste qui se laisse déporter et veut protéger l’armée”, dont la seule action est d’écrire à sa femme… »