Sully Prudhomme

Sully Prudhomme (René, Armand, François Prudhomme dit), homme de lettres français né à Paris le 16 mars 1839, décédé à Châtenay Malabry le 6 septembre 1907.

Élève au lycée Bonaparte, se destinant à devenir ingénieur, Sully Prudhomme dut interrompre ses études pour des questions de santé. Après avoir travaillé aux usines de son condisciple Schneider, au Creusot,  en 1858-1860, il se consacra au droit et travailla chez un notaire tout en écrivant des poèmes. Son premier recueil, en 1865, Stances et Poèmes, connaîtra un succès certain et le parrainage de Sainte-Beuve. Publiant chez Lemerre, temple parnassien, il donna un grand nombre de recueils : Les Épreuves (1866), Les Solitudes (1867), Les Destins (1872), La France (1874), Les Vaine tendresses (1875), Le Zénith (1876), La Justice (1878), Le Prisme (1878) et Le Bonheur (1888).
Académicien français en 1881, très proche de Gaston Paris, il ne fut certes pas un des premiers partisans de Dreyfus, comme on le lit souvent (voir par exemple la notice Wikipédia), et se trouva vite, au contraire, face à l’Affaire dans une situation embarrassante. Le 11 juin 1898, il écrivait ainsi à Gabriel Monod, que « l’affaire Dreyfus a bouleversé [s]a conscience tiraillée par toutes sortes de scrupules opposés, car elle compromet à la fois la justice et la conservation de la patrie dans son unité morale et dans ses moyens de défense matérielle. » Pour cette raison, il avait tenu à se tenir à l’écart et à ne pas accepter les sollicitations de ses amis et élèves et même s’il avait « manifesté, dans des conversations privées, son admiration de l’“acte de Zola” » (lettre de Élie Halévy à Célestin Bouglé du 17 août 1898), c’est bien malgré lui qu’il s’était retrouvé compris dans un hommage à Zola publié par la revue L’Essor. Pour les jeunes gens qui animaient cette petite revue, le poète de Justice qui avait écrit « Qu’on peut être à la fois poète et citoyen » ne pouvait qu’être des leurs. Sully Prudhomme se retrouva pourtant dans le feu de l’action à partir d’avril quand le ministre de la Guerre, Billot, porta plainte devant le Grand Chancelier de la Légion d’honneur contre Zola. Membre du Conseil, il prit le parti, comme il l’écrira à Monod, de se considérer « comme l’avocat d’office de Zola » : « je représente les Lettres dans le Conseil et me ferais scrupule de mêler aux considérations qui me guident dans ma conduite à son égard un atome de mon antipathie foncière pour son idéal littéraire et aussi pour la vanité qui perce dans les manifestations de son caractère. » Convaincu de la « parfaite sincérité et aussi [du] parfait désintéressement » de Zola, il fit le choix de ne pas répondre aux sollicitations de ses amis qui l’engageaient à agir directement sur le Grand Chancelier (« on ne prend pas les mouches avec du vinaigre ») mais de le défendre en assemblée, sur cette ligne : « A-t-il été oui ou non indigné ? À tort ou à raison, peu importe. J’établirai aisément qu’il l’a été. Cela admis, il y a incompatibilité essentielle entre l’indignation et la forfaiture à l’honneur, l’honneur étant le sentiment même de l’indignité. » Et s’il avait pris ce parti, c’était certes parce qu’il croyait à la bonne foi de Zola mais surtout parce qu’il craignait que s’il échouait « des protestations […] en résulteraient [qui] renouvelleraient l’agitation dont la France à déjà tant souffert. » Le 25 juillet, suite à l’avis émis par le conseil de l’Ordre, le président de la république signait le décret qui suspendait Zola de « tous les droits et prérogatives attachés à la Croix d’Offificer de la Légion d’honneur ». Pour les dreyfusards, Sully Prudhomme, « très déféren[t] envers [son] cénacle et très insoucieux de [sa] responsabilité privée » (Camille Mauclair, « Plusieurs honneurs, L’Aurore, 1er août), s’était « courb[é] sans protester, sous le sabre » (Clemenceau, « L’emblême de la loi violée », L’Aurore, 6 août). Il y avait donc « deux justice pour ce poète, comme pour les militaires ! », écrivit Lucien Descaves (« Honnêtes gens », L’Aurore, 3 août).
Le 30 juillet, Maurice Bouchor avait écrit à Sully Prudhomme une lettre qu’il donna au Siècle pour lui dire son intention de ne plus porter sa croix et, sans préjuger de ce qu’avaient été sa position et son vote, pour lui dire que la décision qui avait été prise par le Conseil auquel il appartenait lui semblait « injustifiable » (1er août). Sully Prudhomme y répondit le 5 par une lettre qui disait sans dire et qu’il envoya au Temps : « Mon cher confrère, / Votre lettre m’a été renvoyée à Fontenay-le-Fleuri, chez mon ami Guiffrey, au moment où je revenais dans ma famille à Châtenay, et pendant que vous la publiez dans le Siècle. J’y réponds, malgré moi, tardivement. / En ce qui touche la question spéciale au sujet de laquelle vous me faites part de votre détermination, ma conduite ne pouvait être que conforme à mes principes, et nos relations, fort anciennes déjà, vous ont permis de les connaître. Je n’ai donc pas à vous remercier de votre discrétion, très correcte d’ailleurs. / Quant au reste, mon devoir est rendu par ma situation plus complexe que le vôtre ; je le remplis comme je le sens. / Pour composer le poème que vous me rappelez, j’ai beaucoup étudié l’essence de la justice. À ce commerce avec elle je dois de m’apercevoir que, dans la crise présente, elle a étendu son ressort. Elle n’a plus une cause unique à considérer ; beaucoup d’autres lui sont simultanément confiées. Une foule de travailleurs aussi méritants qu’obscurs, obligés de s’en remettre à de plus instruits qu’eux pour la gestion des affaires publiques, ne sont en rien solidaires de nos responsabilités. Ils sont en droit d’attendre de nous la conciliation de nos plus saints scrupules avec la sécurité du pays, qui est la leur, et dont le souci, à ce titre, n’est pas moins sacré pour nous. / Pouvons-nous ne pas nous en préoccuper et pouvons-nous nous en dégager ? N’assumons-nous pas, bon gré malgré, une tâche d’hommes d’État hors cadre ? / Je m’y sens fort dépaysé, mais engagé par la réflexion. Cette tâche expose à bien des blessures ; ma conscience y demeure intacte ; c’est pour moi l’essentiel. J’agis en pleine liberté je ne dépens d’aucun intérêt temporel de religion, d’aucune lisière politique ni de personne, sans mon agrément. Par bonheur, en outre, je puis me consacrer à la recherche de la vérité pour elle-même et l’orner à mon goût, pour essayer, comme vous, de la faire aimer. » (5 août). En la publiant, L’Aurore dans son édition du 5, s’étonna des « précautions dilatoires [d]u grand poète » et du fait qu’il eût été possible et avantageux de dire la vérité « plus clairement et mieux en moins de mots ». Mais surtout la petite phrase sur les « hommes d’Etat hors cadre » lui vaudra de nombreux sarcasmes. Si L’Aurore demeura moqueuse (voir les numéros des jours suivants et celui du 11 octobre qui, dans une brêve, annonce, par ironie, que le poète doit écrire des vers à l’occasion de la promotion dans l’ordre de la Légion d’honneur du traître Esterhazy), Les Droits de l’Homme, eux se livreront à une véritable exécution sous la plume d’Henri Dagan : « Il faut lire cette page de calligraphie littéraire. Est-ce une fantaisie d’Alphonse Allais ? Est-ce une plaisanterie d’un symboliste douteux ? Je voudrais me le persuader afin de ne pas croire à tant de ténèbres et d’hypocrisie. / Cette lettre, qui est cependant un admirable exercice de dissimulation, découvre presque tous les sentiments mesquins qui l’ont dictée : la crainte de glisser dans un compromis d’opinion ; la préoccupation de se ménager, de part et d’autre, l’indulgence des adversaires ; le souci de conserver ces “hochets de vanité” dont parle M. de Pressensé ; la volonté de rester muet quand même devant le scandale judiciaire ; que sais-je encore ? / Maurice Bouchor, avec la candeur et la grâce d’un poète, avait fait appel aux sentimens généreux de l’auteur de Justice. / Illusion ! Savez-vous ce qu’a répondu l’académicien ? “J’ai beaucoup étudié l’essence de la justice. À ce commerce avec elle, je dois de m’apercevoir que dans la crise présente, elle a étendu son ressort”. / Et ainsi de suite ; Pas un cri, pas un élan ! Une dissertation insipide et c’est tout. / Mais n’est-ce pas assez ? Et que pouvions-nous attendre de ce faux poète qui a osé faire grincer de colère la Lyre, en chantant des principes et des formules… le misérable ! » (« La lettre de Sully Prudhomme », 6 août). Sully Prudhomme n’avait pas voulu parler par respect et obligation vis-à-vis du Conseil dont il était membre : « Si je n’ai pas fait connaître publiquement ma manière de voir au sujet de la décision du conseil de l’Ordre, écrivit-il à Gaston Paris, c’est avant tout parce que la délibération a été secrète, ce qui me crée la situation la plus cruelle. » Il semble, comme en témoignera Émile Javal, qu’il prononça, lors de la séance qui avait abouti à la décision du Conseil, un véritable plaidoyer en faveur de Zola, des « pages admirables » et « d’autant plus méritantes que le talent de cet écrivain lui était plus antipathique » et que « c’est parce qu’il ne se croyait pas le droit de divulguer ce qui se disait en chambre du Conseil, qu’il n’a pas répondu catégoriquement à la lettre de Bouchor. Ce silence, qu’il s’imposait, a été pour Prudhomme, une grande douleur. » De même, « s’il est resté membre du Conseil de l’Ordre de la Légion d’honneur, […] c’est qu’il voulait y défendre la cause du droit ». Mais quel avait été son vote ? Contre, comme le déduisait Clemenceau de sa « lettre emberlificotée » ? « Il aura rencontré, ajoutait-t-il, une heure dans sa vie où il pouvait parler assez haut pour être entendu de toute la terre, où il pouvait, à côté de son grand renom, laisser aux hommes le souvenir d’un acte exemplaire pour cet idéal de justice qu’il a si magnifiquement chanté. Il a laissé passer l’occasion […] / Demeuré libre poète, il se fût enflammé, sans doute, pour la défense de l’idée contre le fait brutal qui l’opprime et prétend l’écraser. Homme d’État, membre du conseil supérieur de la Légion d’honneur, toute la force de l’état d’âme ambiant était déjà sur lui avant qu’il put s’interroger. Poètes, penseurs, écrivains, ne vous laissez pas enrégimenter. Sachez demeurer vous-mêmes. C’est le plus haut service qu’il puisse vous être donné de rendre la patrie » (« Entre poètes », L’Aurore, 11 août). Nous ne saurons ce que fut ce vote mais à son ami Gaston Paris, dans la lettre précédemment évoquée, Sully Prudhomme pouvait écrire : « Je n’ai pas besoin de trahir le secret de nos délibérations pour que tu saches la situation que j’y ai prise et quel a été mon avis. Quant à mes principes, il n’appartient à personne de m’en infliger le mystère. » Mais pour beaucoup de dreyfusards, Sully Prudhomme, en se taisant, en ne disant rien de son vote, en ne répondant pas à Bouchor, en ne démissionnant pas du Conseil de l’Ordre de Légion d’honneur, avait trahi : « Il croit à l’illégalité et à l’injustice ; cela ressort de ses bafouillages eux-mêmes, écrira Élie Halévy à Célestin Bouglé le 17 août. Il avait antérieurement manifesté, dans des conversations privées, son admiration de l’“acte de Zola”. Mais il est “homme d’État hors cadres”. Bouchor l’a tourné et retourné sur le grill ; à Paris, tout le monde se gausse de lui ».
Dans sa lettre à Gaston Paris, il expliquait à son ami quel était son point de vue sur la manière de résoudre l’Affaire : « Le mobile de la conduite est seul justiciable du tribunal de l’honneur, quelles qu’aient pu être les suites de l’action ; le règlement des dommages et intérêts regarde les tribuanux ordinaires. Un général téméraire et inintelligent n’est pas déshonoré pour avoir perdu une bataille. Sur cette question nous sommes complètement d’accord. Sur celle de l’efficacité de la campagne de Zola et de ses rapports avec le bien public, je crains que nous ne le soyons pas ; cela m’est très pénible, car c’est la première fois que cela nous arrive. Le gouvernement seul, à mon avis peut ou pourrait obtenir la révision et conjurer les fâcheux effets de l’exhibition de nos plaies nationales, et encore est-il bien tard pour agir utilement. »
Sully Prudhomme suivit-il, fin août, Gaston Paris, dans son idée de « former un groupe de légionnaires de tous grades qui préviendrait très respectueusement le Grand Chancelier que si on exclut de l’Ordre, définitivement, un homme qui n’a d’autre tort que d’avoir trop violemment servi la cause de ce qu’il croyait la justice et la vérité, si on déclare par ce fait il a forfait à l’honneur, ils [sic] ne pourraient continuer à faire partie de l’Ordre » ? Nous ne le savons pas. En revanche, s’il ne signa pas directement la protestation en faveur de Picquart de novembre-décembre 1898 au moment où était cassé le procès de 1894, il écrivit une lettre au Temps dans laquelle il expliquait : « Le bouleversement social auquel nous assistons navre et humilie tous les Français soucieux de l’honneur et de la prospérité de la patrie. Ceux qui l’avaient prévu ne se croient pas pour cela déliés du devoir d’en conjurer le progrès désastreux dans toute la mesure de leurs forces. / La France est capable, Dieu merci ! de respecter les droits de chacun à la tutelle de ses lois, tout en sauvegardant son propre droit à la vie. Or, en faisant appel de la juridiction des conseils de guerre à celle de la Cour suprême, elle s’est imposé d’en accepter l’arrêt, sinon la discorde serait sans fin. / Je ne veux pas croire que cette acceptation de la dernière garantie offerte à la dignité nationale répugne aux hommes qui aiment leur pays, à ceux-là surtout qui ont fait leur carrière de le défendre. Les représentants de la nation demandent aujourd’hui aux représentants de l’armée que la justice militaire cède le pas à la justice d’un tribunal supérieur. / Si peu que puisse peser mon assentiment joint à celui de tant d’autres qui partagent mon angoisse, je tiens à le donner publiquement, sans réserve, à cette démarche solennelle » (Le Petit Temps, 29 novembre).
Par la suite, Sully Prudhomme signa les deux listes de protestation modérées : « Un vœu » (Le Temps du 6 décembre 1898) demandant l’ajournement du procès Picquart et, fin janvier, l’Appel à l’Union (1ère liste du Figaro). Cet Appel à l’Union répondait parfaitement au désir de concorde qui était le sien et auquel n’avait pas répondu la Ligue de la Patrie française créée peu avant et qui, sous un discours rassurant et mobilisateur pour les plus modérés, cachait de toutes autres intentions. À Gabriel Monod, alors à Rome, il avait, le 3 janvier 1899, évoqué sa fondation et, non sans naïveté, les raisons pour lesquelles il avait refusé d’y apporter sa signature : « Nous causerons à loisir, je l’espère, quand vous serez de retour à Paris, du chaos d’événements d’où la lumière sort enfin au prix de grandes ruines de toutes sortes. Vous apprendrez là-bas la tentative de conciliation, de réconciliation entreprise par une ligue de membres de l’Université, de l’Institut, et d’autres personnes effrayées du désordre présent ; malheureusement la profession de foi des promoteurs de cette association n’a pas été assez mûrie, et ne réunit pas toutes les adhésions désirables. Je n’ai pu y souscrire malgré mon très vif désir de voir la concorde se rétablir entre les français divisés, et Gaston dans un article publié ce matin par le Figaro a exposé très clairement les motifs de sa propre absention [Gaston Paris, « La Ligue de la Patrie française »]. Je suis désolé de l’échec dont est menacée cette généreuse entreprise. Il eût mieux valu s’inspirer tous tacitement de la même pensée pacifiante en évitant les manifestations irritantes et laisser faire la Cour suprême. Je redoute pour l’avenir de nouveaux troubles ».
Nous n’avons guère, pour la suite, d’autres traces de Sully Prudhomme dans l’Affaire à l’execption toutefois de la carte qu’il fit parvenir, à Rennes, à Labori après la tentative d’assassinat dont il fut victime (« l’angoisse a disparu, l’indignation demeure ») à l’occasion du second procès de Dreyfus, procès, comme il l’écrira à Gaston Paris, dont les épisodes qu’il avait suivis avec attention l’avait « distrait péniblement » : « Ni ma conscience ni mon intelligence n’y ont trouvé satisfaction ».
Premier prix Nobel en 1901, malade depuis de très nombreuses années, Sully Prudhomme s’éteignit en 1907.
L’Affaire avait été pour Sully Prudhomme une épreuve. Et si son engagement fut si timide, c’était certes parce qu’il était un parfait modéré mais surtout parce que son tempérament ne le portait pas à l’action. Louis-Xavier de Ricard, qui l’avait bien connu au temps du Parnasse, expliquera ainsi : « je ne doute aucunement de sa sincérité : et si son attitude a été ambiguë, hésitante et un peu plaintive, c’est affaire de tempérament. Sully-Prudhomme n’est point du tout un esprit combatif et même d’action. Les subtilités et les scrupules de sa dilectique l’intimident devant toute décision ; sa poésie exprime moins les affres du doute devant les cruelles énigmes qu’il se pose, que les tourments de l’irrésolution devant la vérité aperçue. Soyez persuadé que Sully-Prudhomme a parfaitement senti de quel côté était la justice dans l’Affaire. Mais il a eu cette angoisse que son adhésion ne l’engageât en une lutte qui n’annonçait pas devoir rester une lutte courtoise de paroles dans les jardins d’Acédémus ! Que l’idée puisse se déformer en fait, c’est là pour Sully-Prudhomme un scandale, auquel répugne sa pudeur de métaphysicien. / Il a donc été logiquement ce qu’il devait être. Et il n’y a pas à chercher d’autres calculs à son “attitude” » (« La fin du Parnasse, Les Droits de l’Homme, 22 janvier 1899). C’est ce qu’il avait lui-même dit à Gaston Paris, toujours dans la lettre que nous citions précédemment : « Jamais je n’ai tant souffert dans ma paix morale. Je suis un rêveur lancé dans l’action brutalement. Il faut que je m’y fasse. » Sully Prudhomme ne s’y fera jamais.

Sources et bibliographie : les lettres à Monod proviennent d’une collection particulière ; celles de et à Paris et la lettre d’Émile Javal, conservées à la BNF, ont été publiées dans Ursula Bähler, Gaston Paris dreyfusard. Un savant dans la cité, Paris, CNRS éditions, 1999, p. 66-68, 133, 156 et 190 ; celle d’Élie Halévy à Célestin Bouglé dans Élie Halévy, Correspondance 1891-1937, Paris, Éditions de Fallois, 1996, p. 253 et la carte à Labori dans Marguerite Fernand-Labori, Labori. Ses notes manuscrites. Sa vie, Lausanne, éditions Victor Attinger, 1947, p. 121.

Philippe Oriol

 

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