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Le nouveau livre d’Adrien Abauzit. Partie II (de quelques prétendus assassinats dreyfusards, de Lemercier-Picard, de la légende des aveux de Dreyfus, de Picquart stipendié du « Syndicat », des imaginaires tentatives de corruption et d’intimidation des dreyfusards et des nombreux mensonges de Cuignet et de Roget)

Parce qu’elle était extraordinaire, on la voulait plus extraordinaire encore. (Joseph Reinach)

Reprenons notre lecture du dernier volume d’Adrien Abauzit : Dérobades et diversions. Un volume qui nous est adressé, nous dont le « naufrage est interminable » (p. 15). Un volume avec lequel Adrien Abauzit annonce qu’il va « remettre l’affaire à l’endroit, ce qui implique d’anéantir les propos boiteux et les sophismes qui [lui] sont opposés », en un mot : une véritable « démolition de la nouvelle argumentation adverse » (p. 9).
Nous avons déjà commenté cette « démolition » du début à la page 34, passons à la suite, avec le chapitre III qui concerne les quelques personnages qu’on nous dit avoir été assassinés par les dreyfusards.

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Le nouveau volume d’Adrien Abauzit. Partie I (des mensonges de l’histoire officielle, de la famille franco-allemande de Dreyfus, de ses amies espionnes, de la mort de Félix Faure et de quelques autres sujets, secondaires)

La SIHAD […] n’a rien trouvé à répondre sur l’essentiel du livre,
alors qu’elle sait être bavarde.

Adrien Abauzit a publié il y a quelques mois un nouveau volume, son quatrième, sur l’Affaire : L’affaire Dreyfus. Dérobades et diversions. Il est, pour l’essentiel, une réponse à notre dernière critique (celle de son troisième volume) et, nous dit-il, une démonstration de ce que la SihaD, composée d’« historiens professant le crédo dreyfusard, ne crai[nt] pas, pour bâtir [son] récit, de prendre de grandes libertés avec les pièces du dossier et de passer sous silence la contradiction antidreyfusarde » (4e de couv.). Nous accusant de nous dérober en ne discutant pas son argumentation quand ce n’est pas en l’ignorant tout à fait, de pratiquer aussi par diversion en « focalis[ant] bien souvent l’attention sur des aspects secondaires », Adrien Abauzit annonce dans son propos liminaire qu’il va « remettre l’affaire à l’endroit, ce qui implique d’anéantir les propos boiteux et les sophismes qui [lui] sont opposés », une véritable « démolition de la nouvelle argumentation adverse » (p. 9).

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