Le texte est connu mais mérite d’être lu ou relu pour comprendre de quelle manière un militant communiste et historien, Jean Bruhat, pouvait prendre en 1934 l’exemple de l’Affaire pour inciter le prolétariat à ne pas répéter les erreurs du passés en venant au secours de la République. Entre Guesde et Jaurès, le choix était fait : « nous ne marchons plus ».
Jean Bruhat, L’affaire Dreyfus et le socialisme français (article paru dans Les Cahiers du bochévisme, n° 9, 1er mai 1934.