Révélées par Pierre Michel sur le site qu’il consacre à Mirbeau :
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Trouvés sur le même Musée des lettres et manuscrits, quatre textes d’Anatole France. Il s’agit de son discours au meeting présidé par Duclaux du 28 novembre 1898 ; le deuxième au meeting en l’honneur de Picquart du 3 décembre 1898 ; la fin de son discours prononcé en faveur du droit syndical des Instituteurs, le 22 février 1906 ; et celui prononcé au banquet offert à Aristide Briand, à la suite du vote de la loi de Séparation, le 6 juillet 1905.
Au lendemain même de sa réhabilitation, Dreyfus avait été l’objet d’attaques de la part de la presse nationaliste et tout particulièrement de L’Action française. Devait-il réagir ?
Vue sur un catalogue de libraire, au modeste prix de 680 €, une carte postale autographe attribuée à Dreyfus…
Trouvée récemment une petite carte de Gonse, alors colonel, à l’avocat Labori pour le féliciter. Nos recherches ne nous ont pas permis de savoir de quoi il s’agissait précisément mais il est amusant de voir avant 1893, date de sa nomination au grade de général (il est alors chef du 4e Bureau de l’État-major), Gonse féliciter son futur adversaire. Et il est surtout amusant de le voir écrire « Labori » en commettant une faute à son nom….
Alexandrine Zola défend la mémoire de son mari, Emile Zola, dans l’AFFAIRE DREYFUS. Le directeur du journal « La Provincia di Brescia » a publié les révélations du baron Alberto Lumbroso accusant Zola de s’être fait rémunérer pour ses articles.
Il lui écrit : «Mon cher Grave, Mon attitude dans l’affaire Dreyfus vous était d’avance une preuve que vous pouvez compter sur moi…»
Une lettre intéressante qui montre le jeune Dreyfus appliqué et curieux.
En voici le texte :
Cette lettre, publiée dans Cinq années de ma vie (Paris, La Découverte, 1994, p. 224-225), passe aux enchères chez Sotheby’s le 29 mai à Paris. Estimation : entre 100.000 et 150.000 euros !!! Une lettre qui nous interroge. Comment est-il possible que cette lettre, de la collection familiale (comme l’indique sa publication dans Cinq années de ma vie), se retrouve en vente ? La famille n’a jamais rien vendu des papiers du capitaine…