Trouvée sur la web, cette lettre qui semble inédite. Elle ne révolutionnera pas la connaissance que nous avons de Zola mais, malgré ses quelques lignes, n’est pas sans intérêt… Continuer la lecture
Archives par étiquette : Zola
Un très important inédit de Zola
Alain Pagès l’a annoncé au colloque de Tel Aviv (sur lequel nous reviendrons bientôt) : il vient de finir, pour paraître en octobre prochain chez Gallimard, l’édition critique des lettres de Zola à Alexandrine…
Zola au Panthéon par Victor Basch
La correspondance inédite d’Alexandrine Zola aux Bruneau
Par Jean-Sébastien Macke. On clique ici
Deux lettres de Zola et une d’Alexandrine
Sur le site de la librairie Autographes des siècles, deux lettres de 1899 et une de la même époque d’Alexandrine Zola.
Les Cahiers naturalistes numérisés
Une bonne nouvelle. On clique ici
Du côté des libraires… une blague bien chère…. et une erreur bien grosse…
Vue sur un catalogue de libraire, au modeste prix de 680 €, une carte postale autographe attribuée à Dreyfus…
A propos de son Zola et le groupe de Médan, une interview d’Alain Pagès par Marc Knobel
Alain Pagès vient de publier Zola et le groupe de Médan aux éditions Perrin. A cette occasion, Marc Knobel l’interroge sur Zola, Médan et l’antisémitisme. A lire ici
Une table ronde sur la mort de Zola
Dans le cadre des Nuits du savoir et autour de la thématique suivante : « Je doute donc je suis », une table ronde se posera la question suivante : Emile Zola a-t-il été assassiné ?
Y participeront : Martine Le Blond-Zola, arrière-petite-fille d’Emile Zola – Yael Perl, arrière-petite-fille d’Alfred Dreyfus – Henri Mitterand, professeur émérite de littérature à la Sorbonne et à l’université Columbia de New York, spécialiste de l’oeuvre d’Emile Zola, président de la Société littéraire des Amis d’Émile Zola – Philippe Oriol, historien.
Une table-ronde mModérée par Paule-Henriette Levy et Marine Bouaziz (RCJ 94.8/ FSJU).
Entrée : 5 €. Réservations ici
Une thèse en ligne sur les transpositions romanesques de l’affaire Dreyfus
Une thèse récemment soutenue. Tout à fait intéressante même si nous devons dire notre déception. Elle se concentre, en effet, à l’image des travaux déjà publiés (de Delhorbe à Barillier) sur les transpositions romanesques les plus connues, qui en constituent l’essentiel, laissant par exemple de côté la grosse dizaine d’autres « romans de l’Affaire », essentiellement antidreyfusards et tous contemporains, qui auraient permis d’enrichir, de préciser et surtout de renouveler considérablement le propos.