Après la biographie qu’elle avait donnée de son grand-père (Arthur Meyer, directeur du Gaulois. Un patron de presse juif, royaliste et antidreyfusard, Paris, Imago, 2003 , 256 p. 20 €), Odette Carasso vient de publier chez Champion un fort et attendu volume : Correspondance reçue par Arthur Meyer, un patron de presse dans le Paris du XIXe siècle.
Archives par étiquette : l’affaire Dreyfus
Elisabeth Weissmann, Lucie Dreyfus, la femme du capitaine
Un site sur Paul Viollet, catholique dreyfusard
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L’affaire Dreyfus et Polytechnique
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Inauguration de la rue Georges Picquart
Ce matin, 13 novembre 2015, à 11h15, a été inauguré, dans le quartier des Batignolles, la rue Georges Picquart (perpendiculaire au boulevard Pereire, à proximité de la station Pont Cardinet).
En présence des familles Picquart, Dreyfus et Zola, du grand rabbin de France Haïm Korsia et de Roman Polanski, Anne Hidalgo, Brigitte Kuster, Christian Vigouroux et jean-Yves Le Drian ont pris la parole.
Freud et l’affaire Dreyfus
La Justice en ses livres
« La Justice en ses livres »
L’Association Française pour l’Histoire de la Justice organise la Journée du livre judiciaire,
Un dossier Zola dans le dernier magazine littéraire
Le Dreyfus de Didier van Cauwelaert… suite…
En passant, ce petit article qui nous avait échappé et qui voit rééditer – voire aggraver – les âneries déjà signalées (voir ici) :
Le retour du « troisième homme »
Dans le dernier numéro de la revue, Détours en histoire, Franck Ferrand revient sur la « thèse » du « troisième homme » sur laquelle il était resté assez discret dans l’édition de L’Ombre d’un doute qu’il avait consacrée à l’Affaire (voir ici). Nous ne reviendrons pas sur cette question d’un intérêt tellement relatif à laquelle nous avons déjà consacré un post (voir ici). Nous nous contenterons de signaler que si la thèse Guillemin, ici reprise, apporte peut-être dans son principe (à défaut d’arguments recevables qui permettraient de l’étayer) « une explication lumineuse à tout cet imbroglio », elle pose le problème de considérer Esterhazy comme un agent du contre-espionnage, donc comme innocent, et les Mercier Boisdeffre, Gonse, Henry, etc. comme des patriotes et non comme les criminels qu’ils furent. Peut-être pourrait-on se satisfaire de cette idée qu’il n’y pas dans l’affaire Dreyfus d’ « imbroglio » et que si Dreyfus fut en effet bien innocent, Esterhazy fut un traître par besoins et Mercier et les hommes de l’État-major coupables du plus abominable des crimes par bêtise et bientôt par nécessité de se protéger…