Un site pour découvrir ce dreyfusard original et vigoureux dénonciateur des thèses de Drumont. voir ici.
Archives mensuelles : janvier 2015
Zola et la liberté : rencontre avec Alain Pagès le 23 janvier
Séminaire Zola du 23 janvier
Au programme : Olivier Lumbroso (Sorbonne nouvelle – Paris 3) : « Exil et intime : Émile Zola en Angleterre pendant l’Affaire Dreyfus ».
Le film de Polanski sur l’affaire Dreyfus : tournage imminent
Lire ici.
La statue de Dreyfus graffitée
Dreyfus, l’amour pour résister : représentation du 13 janvier
Le 13 janvier, ainsi que nous l’annoncions, Marc Chaouat a organisé une représentation de la pièce écrite et jouée par Joël Abadie sur la base de la correspondance entre Alfred et Lucie Dreyfus. Après une discussion entre le public et Martine Le Blond-Zola et Philippe Oriol, Joël Abadie a donné à voir sa pièce à un public nombreux. Un texte d’une belle fidélité et d’une rare intelligence dans la sélection des lettres et un seul en scène époustouflant. Joël Abadie incarne un Dreyfus troublant et par son interprétation donne une autre « couleur » à cette superbe correspondance en y introduisant une lumière parfois inattendue qui permet de voir apparaître le Dreyfus que nous connaissons et que la mémoire a trop souvent tendance à maltraiter. Une soirée magnifique et, avec la pièce que nous avait donnée David Arveiller sur le texte de Pierrette Dupoyet, un des grands spectacles sur l’Affaire. À voir absolument.
Le téléfilm consacré à Drumont visionnable gratuitement
À Saint-Gilles (Belgique), le 1er février, une soirée autour de Georges Méliès et l’affaire Dreyfus
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Un intéressant article sur la relation Jaurès-Péguy
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1934 : l’affaire Dreyfus comme modèle de réflexion pour les communistes face à la montée des périls
Le texte est connu mais mérite d’être lu ou relu pour comprendre de quelle manière un militant communiste et historien, Jean Bruhat, pouvait prendre en 1934 l’exemple de l’Affaire pour inciter le prolétariat à ne pas répéter les erreurs du passés en venant au secours de la République. Entre Guesde et Jaurès, le choix était fait : « nous ne marchons plus ».
Jean Bruhat, L’affaire Dreyfus et le socialisme français (article paru dans Les Cahiers du bochévisme, n° 9, 1er mai 1934.