Sur academia.edu, quelques articles sur l’Affaire :
À paraître, un collectif sur Zola, mélanges offert à Alain pagès
Table des matières : dans le formulaire de souscription à télécharger : Émile Zola et le naturalisme
Dreyfus général à titre posthume ?
À l’occasion de la cérémonie de commémoration de la Rafle du Vel’d’Hiv’, FLorence Parly, ministre des Armées, a fait allusion à l’Affaire. Elle a déclaré que « 120 ans après le procès de Rennes, les Armées [devaient] regarder leur histoire en face » :
120 ans plus tard, il est encore temps que les Armées redonnent à Alfred Dreyfus tout l’honneur et toutes les années qu’on lui a ôtés. Et j’y veillerai personnellement.
Dreyfus à l’Institut Universitaire Européen Rachi
À partir de septembre 2019, le jeudi, de 17 à 19 heures :
Sous la direction de Jean-Michel Pottier
Toute l’affaire Dreyfus dépend de l’écrit : du bordereau accusateur au J’Accuse d’Émile Zola, des articles de presse aux romans fondés sur l’histoire de l’Affaire, des lettres de Dreyfus à celles de Zola, de la sténographie du procès aux thèses développées ici ou là. Cette dimension de l’écrit n’est pas sans signification. L’écrit fixe le réel, l’écrit scénarise le réel, l’écrit installe une mémoire, l’écrit appelle une lecture et donc une interprétation.
Félix Fénéon
Depuis deux jours – et jusqu’au 29 septembre –, au musée du Quai Branly : « Félix Fénéon. Les arts lointains ».
À partir du 16 octobre, à l’Orangerie, « Félix Fénéon, les temps nouveaux, de Seurat à Matisse ».
Et à paraître au édition du Sandre cet été, le premier des trois volumes des nouvelles Œuvres complètes de Félix Fénéon, avec de très nombreux inédits, et un peu plus tard, une nouvelle biographie de Fénéon par Philippe Oriol.
Les artistes face à l’affaire Dreyfus. Conférence de Bertrand Tillier à Gournay
Si l’affaire Dreyfus a incontestablement contribué à l’avènement de la figure de l’intellectuel, celle de l’artiste engagé en ces circonstances a moins retenu l’attention.
Pourtant, des peintres, des sculpteurs, des graveurs et des caricaturistes se sont mobilisés pour la cause dreyfusarde ou, au contraire, ont rejoint les rangs du nationalisme et de l’antidreyfusisme.
Le champ artistique, dans son ensemble, a été enrôlé dans cette crise politique et morale, qu’on évoquera à travers des pratiques et des œuvres, qui furent pensées comme des interventions publiques.
Les quêtes de neutralité de Rodin, la frilosité de Maurice Denis, l’antisémitisme obsessionnel de Degas ou Cézanne, la fébrilité d’Henry de Groux, le militantisme exalté d’Émile Gallé, l’activisme du sculpteur nationaliste Jean Baffier sont quelques-uns des parcours d’artistes qu’on abordera, en prenant en compte, entre éthique et esthétique, la réception critique de leurs œuvres confrontées à l’Affaire.
On n’oubliera pas non plus d’évoquer l’attitude d’Eugène Carrière.
Le samedi 16 février 2019 à 16h en mairie de Gournay sur Marne, à l’initiative de la Société des Amis d’Eugène Carrière. Entrée : 5 €
Zola le juste
Sur France Culture, La Compagnie des auteurs, le 20 décembre 2018
Les Juifs dans le récit national français : une présence en pointillés ? Des nouvelles de l’affaire Dreyfus
Sur France Culture, dans La Fabrique de l’histoire, le 10 janvier 2019 :
Des nouvelles de l’affaire Dreyfus, un documentaire d’Anaïs Kien et Séverine Cassar
Georges Clemenceau et la culture : d’une bibliothèque à l’autre
Clemenceau et la Culture : d’une bibliothèque à l’autre
vendredi 18 janvier 2019
14h00-18h00
Cet après-midi d’étude montre Georges Clemenceau sous un jour nouveau. Chef de guerre, « Père la Victoire », il fut aussi un homme de culture, grand ami des arts et des intellectuels de son temps..
Dans le cadre de l’Année Clemenceau, avec le soutien de la Mission du Centenaire et le concours scientifique de Jean-Noël Jeanneney et de Jacqueline Sanson.
L’Affaire Dreyfus mise en bière
À Quebec, a été commercialisée, à l’automne 2017, une bière nommée : L’Affaire Dreyfus. L’île du Diable.
Elle est ainsi présentée sur le site du brasseur :