Parce qu’elle était extraordinaire, on la voulait plus extraordinaire encore. (Joseph Reinach)
Reprenons notre lecture du dernier volume d’Adrien Abauzit : Dérobades et diversions. Un volume qui nous est adressé, nous dont le « naufrage est interminable » (p. 15). Un volume avec lequel Adrien Abauzit annonce qu’il va « remettre l’affaire à l’endroit, ce qui implique d’anéantir les propos boiteux et les sophismes qui [lui] sont opposés », en un mot : une véritable « démolition de la nouvelle argumentation adverse » (p. 9).
Nous avons déjà commenté cette « démolition » du début à la page 34, passons à la suite, avec le chapitre III qui concerne les quelques personnages qu’on nous dit avoir été assassinés par les dreyfusards.
Christian Vigouroux nous donne à lire un nouveau Picquart, préfacé par Haïm Korsia, Grand Rabbin de France. Il s’agit d’une synthèse actualisée de sa biographie publiée en 2009 chez Dalloz et rééditée l’année dernière chez le même éditeur (note critique : 



