La conférence que nous avions précédemment annoncée…
La conférence que nous avions précédemment annoncée…
Nous en parlions en mai… Nous avons reproduit cet extrait en ajout, à la fin du post alors publié à son sujet (voir ici).
Alain Pagès a eu la gentillesse de nous communiquer ce billet :
Bientôt ouvrira officiellement le premier musée permanent de l’affaire Dreyfus dans la maison de Zola. Il sera accompagné d’un site de ressources pour les curieux, les amateurs et les enseignants. On peut déjà consulter la page provisoire de cet site : ici.
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Un roman qui imagine comment, pour la cause, le fumiste Buronfosse, main armée du nationalisme et de l’antisémitisme, assassina Zola. On y croise toute la fine fleur de l’antidreyfusisme en un roman qui prend quelques belles libertés avec l’histoire et aurait pu être amusant et plutôt agréable à lire si l’auteur ne s’était pas senti obligé de peindre – rigoureusement insupportable et d’une stupidité qui donne une idée assez précise de ce que peut être l’infini – ce portrait de Dreyfus , variation en surenchère de la scène, déjà tout à fait idiote, que nous avait laissée Armand Lanoux dans son Zola ou la conscience humaine.
Toute cette semaine, à partir de ce 11 novembre, à 14h30, Jean Lebrun parlera de l’affaire Dreyfus.
on va voir ici.
Trouvée, sur un catalogue de libraire en ligne (Autographes des siècles), cette lettre de Zola à Eugène Fasquelle :