En présence de Françoise Basch, des communications des amis André Hélard, Colette Cosnier, Emmanuel Naquet, Pascal Ory, etc.
La journée en vidéo en suivant ce lien
En présence de Françoise Basch, des communications des amis André Hélard, Colette Cosnier, Emmanuel Naquet, Pascal Ory, etc.
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Le dernier livre d’Uri Eisenzweig est tout à fait passionnant. Il nous interroge d’une manière originale et hardie et nous offre une explication de cet « étonnant chassé-croisé » que fut le moment où coïncidèrent le silence de Bernard Lazare et la prise de parole de Barrès, en novembre-décembre 1897. Nous en parlerons plus loin en tentant tout au long de ce post de répondre, soit parce qu’il les laisse ouverte soit parce qu’il propose des réponses auxquelles il est possible, je crois, d’apporter quelques précisions, aux questions qu’il pose et qui articulent sa démonstration.
Dans le cadre des Nuits du savoir et autour de la thématique suivante : « Je doute donc je suis », une table ronde se posera la question suivante : Emile Zola a-t-il été assassiné ?
Y participeront : Martine Le Blond-Zola, arrière-petite-fille d’Emile Zola – Yael Perl, arrière-petite-fille d’Alfred Dreyfus – Henri Mitterand, professeur émérite de littérature à la Sorbonne et à l’université Columbia de New York, spécialiste de l’oeuvre d’Emile Zola, président de la Société littéraire des Amis d’Émile Zola – Philippe Oriol, historien.
Une table-ronde mModérée par Paule-Henriette Levy et Marine Bouaziz (RCJ 94.8/ FSJU).
Entrée : 5 €. Réservations ici
Alain Soral, maître à « penser » du « comique » Dieudonné, défraie la chronique avec sa maison d’édition. Après la réédition du Salut par les Juifs de Léon Bloy, réédition abusive qui a suscité une salutaire réponse de Pierre Glaudes (voir ici), Soral continue à rééditer des textes dont la loi sur le droit d’auteur lui permet de se saisir.
Trouvée récemment une petite carte de Gonse, alors colonel, à l’avocat Labori pour le féliciter. Nos recherches ne nous ont pas permis de savoir de quoi il s’agissait précisément mais il est amusant de voir avant 1893, date de sa nomination au grade de général (il est alors chef du 4e Bureau de l’État-major), Gonse féliciter son futur adversaire. Et il est surtout amusant de le voir écrire « Labori » en commettant une faute à son nom….
Une thèse récemment soutenue. Tout à fait intéressante même si nous devons dire notre déception. Elle se concentre, en effet, à l’image des travaux déjà publiés (de Delhorbe à Barillier) sur les transpositions romanesques les plus connues, qui en constituent l’essentiel, laissant par exemple de côté la grosse dizaine d’autres « romans de l’Affaire », essentiellement antidreyfusards et tous contemporains, qui auraient permis d’enrichir, de préciser et surtout de renouveler considérablement le propos.
Musique Michel Legrand · Livret Didier van Cauwelaert
Mise en scène et lumière Daniel Benoin
Création mondiale · Avec [distribution en cours], les Chœurs et l’Orchestre de l’Opéra de Nice · Décor Jean-Pierre Laporte · Costumes Nathalie Bérard-Benoin · Vidéo Paulo Correia · Production Théâtre National de Nice – CDN Nice Côte d’Azur, Opéra de Nice